Conseils voyage

« Règles d'étiquette »

Un sondage de TD Canada Trust sur les règles d’étiquette à l’étranger démontre que TErraceles Québécois sont incertains des pratiques du pourboire et des usages locaux à l’étranger.

Il appert en effet que si 70 % des Québécois prévoient voyager cet été (dont 32 % à l’extérieur du Canada), 57 % s’avouent incertains et 15 % perplexes vis-à-vis des pratiques du pourboire gratifications ou frais de service à l’extérieur du pays.

Face au doute, 36 % des Québécois jouent de prudence et donnent aux fournisseurs de services à l’étranger les mêmes pourboires qu’au pays, soit entre 10 % et 15 %. Toutefois, la norme diffère selon le pays, souligne Julie Frange, de TD Canada Trust.
« Par exemple, l’on donne habituellement entre 15 % et 20 % aux serveurs aux États-Unis, alors qu’en Europe, le service est souvent compris dans l’addition et qu’en Australie, aucun pourboire n’est donné », illustre-t-elle, en recommandant aux voyageurs de vérifier l’usage en la matière avant de partir.
« Cela peut être embarrassant de donner trop peu. Toutefois, si l’on donne des pourboires trop généreux, c’est le budget qui s’en ressent », ajoute-t-elle. Or, le sondage démontre aussi que les Canadiens considèrent qu’il est important de respecter son budget en voyage…

Règles d’étiquette

Les Québécois avouent aussi commettre des erreurs occasionnelles en matière d’usages locaux. Le sondage révèle que la majorité sait qu’il est interdit de mâcher de la gomme à Singapour (53 %) et qu’il est mal vu de sourire dans certains sites historiques du Vietnam (84 %). Par contre, 72 % des Québécois croient à tort qu’il est acceptable de partager l’addition à Paris (ou que les Argentins prennent leur repas tôt le soir – 68 %).
Là encore, les usages varient grandement d’un pays à l’autre et il importe de s’informer des convenances sociales avant de partir, recommande Julie Frange. « Au Mexique par exemple, les commerçants dans les marchés locaux s’attendent à négocier les prix, alors qu’à certains endroits, comme à Paris, il est très mal vu de discuter d’argent », illustre-t-elle.

Immersion culturelle?

Le sondage s’est aussi intéressé aux préférences des Québécois en matière d’immersion culturelle. À cet égard, il appert que…
•      21 % des Québécois préfèrent se détendre dans un centre de villégiature plutôt que de vivre des expériences culturelles;
•      61 % veulent bien découvrir les sites d’intérêt d’un nouveau pays, mais sans renoncer aux conforts auxquels ils sont habitués;
•      18 % souhaitent s’immerger dans la culture locale.




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